Porter la voix des victimes oubliées n'a rien à voir avec l'extrême-droite

 PORTER LA VOIX DES VICTIMES OUBLIÉES ça n’a rien à voir avec l’extrême-droite.

 

Les victimes qui ont signé la tribune du JDD ( lettre ouverte au Président) ne font pas le jeu de l’extrême-droite. Elles sont a politiques, elles l’ont toutes précisé et elles veulent simplement porter la voix des victimes oubliées

 

 

«Que cette lettre ait été effectivement écrite par une journaliste du JDD ne change rien au fait que nous sommes d’accord à 100 % avec ce qu’il y est mentionné. Si cela avait été proposé par un autre journal, nous l’aurions tout autant signée. Nous sommes apolitiques, nous ne voulons pas être récupérés politiquement, mais ce qui est le plus important pour nous, c’est que nous voulons faire entendre la voix des victimes de toutes les façons possibles», explique au Dauphiné Libéré Patricia Perez, la mère d’Adrien Perez tué le 29 juillet à Meylan après une rixe sur le parking d’une boîte de nuit. «Nous sommes les grands oubliés de la justice. Je continuerai à prendre la parole pour défendre cela et je continuerai à signer des textes pour porter la voix des victimes oubliées. En ce sens, je ne fais pas le jeu de l’extrême droite, je fais le jeu de la dénonciation des violences en France», a-t-elle conclu.

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