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Et au fait, cher Jack Paloque Bergès quand vous étiez " aidant" dans un centre pour SDF vous viviez de quoi et comment ?

_Et au fait  cher Jack Paloque Bergès quand vous étiez «  aidant » dans un centre pour SDF, vous viviez de  quoi et comment ? Par  qui étiez-vous rétribué ???  Si  j'ai  bien  compris  vous étiez  payé   pour aider...  J'aimerais   comprendre...  

 

_ Votre vie personnelle et «  professionnelle » ( professionnelle, vraiment?)  m’intéresse assez moyennement mais vu le nombre de ragots infects que vous colportez sur moi depuis des années, j’aimerais assez savoir «  d’où  vous parlez »   Vous voyez ce que je veux dire ???

 

_ En général les délateurs et les calomniateurs ( les miens en tout cas) ne sont pas des gens très nets et ils projettent souvent leur propre noirceur sur les autres. 

 

_Dans l’article du journal La Dépêche de 1999  vous expliquiez  qu’après avoir vécu dans la rue pendant de très nombreuses années et mené une vie d’errances, drogue and so on,  vous avez tout d’un coup «  rencontré le Christ » et avez complètement changé de cap ,  de SDF  vous êtes  devenu  « aidant » des SDF.  

 

_ Et cette aide que vous apportiez aux SDF était, j’imagine  totalement gratuite… J’imagine  que vous n’étiez pas payé pour cette activité,  quel était donc votre métier à l’époque ?  Car dans l’article de la Dépêche vous êtes assez évasif , je vous cite «   Et Dieu les aidera. Moi, Dieu m'aide tous les jours...» Eh oui ! Jack vit sans le sou, mais il lui tombe juste les sous qu'il faut pour aider son prochain.

«Le Seigneur est fidèle : si j'ai besoin d'argent, il m'en procure !» Un chèque par-ci, un don par-là.. »

 

_  Mais  je suis  si heureuse  que Dieu vous aide et  vous envoie «  un chèque par ci, un don par là. »   Ben moi  Monsieur Jack Paloque  je n’ai jamais demandé d’aide à qui que ce soit,  pour assurer ma subsistance  j’ai  eu recours à un moyen tout bête, j’ai bossé. 

 

_Je n’ai jamais vécu, moi, contrairement à certaines personnes dont je tairai les  noms,  aux crochets de la société ou  de qui que ce soit  et certainement pas à ceux  «  des  pauvres personnes sous tutelle »  dont vous m’accusez , depuis près de dix ans d’exploiter la détresse. 

 

 

 

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